Bell Canada met l’accent sur le perfectionnement des compétences
Avant de se joindre à Belle Canada il y a deux ans et demi, Beverly Wilks avait 10 années d’expérience au sein de l’industrie de la sécurité, tant la sécurité physique que la cybersécurité. Bien qu’elle est passée d’une société moyenne à une très grande entreprise, elle a constaté beaucoup de choses qu’elle aime chez Bell.
« C’est une grande société, mais elle est dynamique, déclare Mme Wilks, gestionnaire principale du marketing des produits, pratiques de sécurité et d’établissement de réseaux. Ce qui est vraiment encourageant, c’est que nous avons des solutions cybernétiques innovatrices et un leadership solide sur le plan technique, un leadership solide sur le plan des affaires. »
Bell est la plus grande entreprise de communication du Canada, desservant des clients au moyen de services d’Internet résidentiel, de télévision et sans-fil, ainsi que des entreprises de toutes tailles. En plus d’une présence au détail importante, le portefeuille de Bell compte également de principales offres de médias numériques comme Crave ainsi que des chaînes télé et radio partout au pays.
La société évolue continuellement afin de maintenir le rythme des avancées technologiques et des changements dans les différents marchés où elle exerce ses activités. « Bell œuvre dans un si grand nombre de domaines différents, que ce soit les médias, les entreprises ou la vente directe aux consommateurs, affirme Declan Brady, vice-président, ingénierie des données et intelligence artificielle. On y retrouve des possibilités pour faire preuve d’innovation.
Dans toute l’entreprise, l’accent est toujours sur le perfectionnement professionnel et l’acquisition de nouvelles compétences, » déclare-t-il.
Mme Wilks a tiré parti des cours de formation en gestion qui ont duré plusieurs semaines et a participé à des séances virtuelles avec devoirs assignés. « Il faut élargir vos compétences en gestion et vos compétences techniques, surtout dans le monde de la technologie qui évolue rapidement, affirme-t-elle.
Il y avait un autre avantage. « La dernière fois, nous étions plus de 20 personnes à la séance, alors on rencontre des gens de partout dans l’entreprise ce qui permet d’élargir son réseau, affirme-t-elle Nous avons tous appris les uns des autres – ce n’est pas seulement un exposé magistral. »
« Au-delà des vastes possibilités de formation formelle, nous encourageons la participation à des événements pour toute l’entreprise, comme les nombreux marathons de programmation que nous organisons chaque année, ajoute M. Brady. Notre investissement dans ces initiatives, ainsi que nos partenariats avec de principales institutions d’IA comme Vector et Mila, reflète notre engagement à demeurer novateurs et à explorer les technologies de pointe. »
De plus, Belle couvre les frais du maintien de certifications externes et d’accréditations professionnelles. « Tout le monde reconnaît l’importance de maintenir les crédits de certification, affirme Mme Wilks. Beaucoup de personnes dans différents domaines techniques ont besoin de certifications externes, et Bell couvre tous ces frais. »
Bell réalise également un bon nombre de programmes axés sur le recrutement des talents de collèges et d’universités. Le programme d’études supérieures peut permettre aux nouveaux employés d’effectuer des rotations dans différents rôles ou de perfectionner leur expertise dans un rôle à mesure qu’ils découvrent là où reposent leurs intérêts. Ils reçoivent également une formation en leadership pour appuyer leur croissance professionnelle.
La société offre également des stages, ce qui est idéal pour permettre aux étudiants d’explorer un avenir dans les services technologies et les médias numériques. Le programme est organisé de manière à s’assurer que les participants obtiennent une expérience du monde réel.
« Nous accordons la priorité à faire en sorte que les nouveaux diplômés réussissent et aboutissent finalement dans un programme qui correspond le mieux à leurs compétences, déclare M. Brady. Cela inclut le soutien, le mentorat et les ressources pour le perfectionnement professionnel. Il s’agit donc d’un très beau parcours si vous venez tout juste de terminer vos études universitaires. »
L’envergure de Bell Canada offre de nombreux parcours professionnels
Rita Benyahia s’est jointe à Bell Canada dans le cadre de son programme d’études supérieures après avoir terminé le programme de génie électrique à l’École Polytechnique de Montréal.
« Mon expérience chez Bell n’a été que positive et enrichissante », affirme Mme Benyahia, aujourd’hui directrice, transformation stratégique des affaires. « Il existe une forte culture de l’apprentissage continu et de la collaboration. L’entreprise investit fortement dans son personnel au moyen de la formation, du mentorat et des possibilités de se développer. »
Liliane Giguère Samson abonde dans le même sens. « Mes différents responsables m’ont toujours encouragé à en apprendre davantage et à aligner mon développement de carrière sur les objectifs de Bell », explique Mme Giguère Samson, développeuse en science des données. « Bell est vraiment très doué pour vous aider à vous concentrer sur le développement de votre carrière. »
Giguère Samson a effectué un stage de trois mois chez Bell à l’été 2022, tout en étudiant les mathématiques à l’Université Queen’s, à Kingston, en Ontario. Elle a rejoint l’entreprise à temps plein après avoir obtenu son diplôme au mois de septembre suivant et s’est inscrite au programme des diplômés de l’entreprise. Il donne aux nouveaux diplômés l’occasion d’effectuer une rotation dans différentes unités commerciales sur une période de deux, voire trois ans.
« Le programme a été un atout majeur car, en l’espace d’un an et demi, j’ai rejoint trois équipes différentes », explique-t-elle. « J’ai pu vivre bien plus de choses que dans le cadre d’un premier emploi classique. »
Mme Benyahia a trouvé le parcours professionnel qu’elle souhaitait suivre en participant au programme des diplômés de Bell. « J’ai développé un fort intérêt pour la finance », dit-elle. « C’est ce qui est formidable avec Bell. L’entreprise s’engage à offrir des possibilités de croissance à ceux qui sont prêts à apprendre et à collaborer. »
Elle s’est inscrite à un programme de MBA offert par les Hautes Études Commerciales de l’Université de Montréal. Bell a fourni une aide financière ainsi que du temps d’étude. Elle a également suivi plusieurs cours universitaires dans ce domaine et l’équipe financière l’a soutenue tout au long de son parcours.
En plus de soutenir les employés qui poursuivent des diplômes ou des certifications externes, l’université virtuelle Bell U de l’entreprise offre un large éventail de ressources de formation et d’éducation. « Bell est très attachée à l’amélioration des compétences en matière de technologie », explique Mme Benyahia. « Mon équipe et moi-même sommes formés à de nouveaux outils que nous pouvons utiliser pour automatiser, rendre les choses plus efficaces et créer de la valeur. »
Elle ajoute : « il ne se passe pas un jour sans que j’apprenne, qu’il s’agisse d’améliorer mes compétences ou de comprendre une unité commerciale différente à laquelle je n’ai jamais été exposée. »
Mme Giguère Samson a trouvé que la taille de Bell l’avait un peu dépassée lorsqu’elle a été embauchée à temps plein, mais le programme pour diplômés l’a aidée à trouver sa voie. « Chaque année, il y a un sommet à Toronto pour tous les diplômés qui ont commencé dans la même année que vous », dit-elle. « De nombreux cadres sont présents; il y a des présentations et des activités d’équipe qui vous donnent l’occasion de parler à des personnes que vous ne rencontreriez peut-être jamais autrement. »
Elle a également acquis des connaissances grâce à des déjeuners-causeries mensuels au cours desquels des collègues de différents secteurs de l’entreprise échangent des informations précieuses. Grâce à ce processus, elle a pu découvrir le potentiel d’une carrière longue et enrichissante chez Bell.
« Lorsque je parle aux membres de l’équipe dans d’autres unités commerciales, c’est presque comme s’ils travaillaient pour une autre entreprise », dit-elle. « Si je voulais passer à quelque chose de complètement nouveau, il y a une multitude de possibilités de le faire chez Bell. »
Bell Canada offre des options intéressantes aux nouveaux diplômés
Après avoir obtenu un diplôme d’ingénieur à l’université McMaster, Aaron Li est entré chez Bell Canada en juillet 2023 et a intégré le programme pour nouveaux diplômés de l’entreprise, qui lui a offert de nombreuses possibilités d’apprentissage ainsi qu’un réseau social composé d’autres jeunes diplômés.
« Bell offre à ses diplômés de nombreuses possibilités d’évolution et d’apprentissage », déclare M. Li, ingénieur en données chez Bell TV. « Vous travaillez avec beaucoup d’équipes et beaucoup de gens. J’ai été très reconnaissant de pouvoir voir les différentes facettes de l’entreprise ».
Le programme pour les nouveaux diplômés soutient les jeunes qui sortent de l’université ou du collège. Il offre aux diplômés la possibilité d’effectuer une rotation dans un certain nombre de départements sur une période de deux ans ou, comme dans le cas de M. Li, d’obtenir immédiatement un poste permanent.
Natalie Cattanach, vice-présidente des services consultatifs et aux opérations liés à l’expérience, comprend la valeur de ces programmes. Elle a commencé sa carrière chez Bell en tant que diplômée en 2011, après avoir obtenu un diplôme en commerce et en sciences politiques à l’Université de Waterloo. Au cours de sa participation au programme pour les diplômés, elle a effectué des rotations dans le centre d’appels, le commerce de détail et d’autres équipes avant d’intégrer l’équipe marketing.
Le volet rotatif du programme de Bell lui a permis de trouver un poste et une équipe correspondant à ses intérêts, à ses compétences et à ses objectifs.
« Les possibilités d’apprentissage sont nombreuses dans l’ensemble de l’organisation », déclare Mme Cattanach. « Dans mon travail quotidien, je vois des jeunes qui ont la possibilité de développer leurs compétences et d’occuper différents postes. »
Bell soutient l’évolution de carrière et le perfectionnement professionnel de différentes manières. L’entreprise dispose d’un riche éventail de ressources d’apprentissage accessibles à tous par l’intermédiaire de Bell U.
« Il existe une forte culture de développement du leadership et de mentorat dans l’ensemble de l’organisation », ajoute Mme Cattanach. « On trouve aussi des programmes formalisés et un accompagnement permanent. »
En outre, Bell prend également en charge les frais d’inscription à des cours externes agréés, à des certifications et à des accréditations.
« Bell nous aide également avec des plateformes en ligne comme Coursera et Udemy », déclare M. Li. Ces ressources comprennent toute une série de compétences techniques et pratiques, comme l’infonuagique, la prise de parole en public et l’organisation de présentations.
Bell est en constante évolution pour suivre le rythme d’un paysage technologique qui évolue rapidement. À cette fin, l’entreprise investit dans des talents ayant une formation en STIM (science, technologie, ingénierie et mathématiques).
« On pense que Bell se résume au téléphone, à l’Internet et à la télévision, mais c’est bien plus que cela », explique M. Li. « Nous continuons à nous transformer et à nous développer en utilisant de nouveaux outils, de nouvelles informations et de nouvelles compétences pour assurer notre réussite future. »
L’entreprise organise également des événements sociaux pour les nouveaux diplômés tout au long de l’année afin qu’ils puissent rencontrer d’autres diplômés d’autres divisions ou établis dans d’autres villes.
« Le programme des nouveaux diplômés comporte un aspect communautaire que j’ai beaucoup aimé », déclare-t-il. « Nous avons organisé un grand nombre d’événements sociaux. Des directeurs et même des vice-présidents sont venus nous parler de la façon de bâtir une carrière. »
Il a également participé au sommet annuel des nouveaux diplômés qui s’est tenu en mars 2024 à Toronto. L’entreprise a recruté quelque 400 nouveaux diplômés venus de tout le pays. « Il y avait beaucoup de conférenciers, y compris le président-directeur général et mon propre vice-président », dit-il. « J’ai beaucoup appris d’eux sur le monde des affaires ».
Outre ces événements spéciaux, M. Li affirme qu’il est tombé sur une bonne équipe. « Ils sont extraordinaires. Mon responsable, mes directeurs et les membres de mon équipe encouragent toujours la croissance et l’innovation ».
La diversité chez Bell permet à chacun de réaliser son plein potentiel
Yvonne To est passée directement d’un programme universitaire en génie à un poste d’ingénieure de systèmes clients chez Bell Canada. C’était il y a une vingtaine d’années et, à l’époque, elle était la seule femme d’une équipe de 30 personnes.
« J’ai constaté un grand changement en ce qui concerne la représentation des femmes dans ces fonctions », déclare Mme To, cadre supérieure en services de technologie de réseau. « Aujourd’hui, quand je regarde autour de moi, je vois beaucoup plus de femmes dans les sciences, les technologies, l’ingénierie et les mathématiques [STIM]. »
Cela dit, Bell s’efforce d’aller encore plus loin. « Nous essayons de combler le fossé entre les hommes et les femmes, en particulier dans les domaines des réseaux et de la technologie », ajoute Mme To.
Il est essentiel de veiller à ce que les effectifs de Bell à tous les niveaux reflètent la diversité de la société dans son ensemble pour fournir des solutions innovantes qui répondent aux besoins diversifiés de ses clients.
La volonté de Bell d’employer davantage de femmes dans des postes techniques n’est qu’un élément de sa stratégie plus large en matière de diversité, d’équité, d’inclusion et d’appartenance (DEIA). L’entreprise s’efforce activement d’accroître la représentation des minorités visibles, des populations autochtones et des personnes handicapées.
« Assurer la diversité des voix qui représentent la population canadienne est un principe fondamental chez Bell », déclare Shalini Parakulangara, vice-présidente de l’intelligence d’affaires pour Bell Marchés Affaires. « L’un de nos secteurs d’intervention privilégiés stratégiques consiste à faire en sorte que notre équipe de haute direction soit plus représentative de notre main-d’œuvre. »
À cette fin, Bell s’est fixé pour objectif d’atteindre, d’ici 2025, une représentativité d’au moins 35 % de dirigeants issus de la diversité des genres aux niveaux des vice-présidents et des postes à des niveaux supérieurs, et 25 % des postes de cadres supérieurs occupés par des Noirs, des Autochtones ou des personnes de couleur (PANDC).
Mme Parakulangara est la marraine principale des initiatives en matière de DEIA au sein de Bell Marchés Affaires et fait partie du Conseil du leadership en matière de diversité de Bell. Ce Conseil est composé de cadres supérieurs de chaque unité fonctionnelle qui travaillent ensemble pour promouvoir et rendre compte des plans visant à accroître la représentation, le maintien en poste et l’avancement des membres de l’équipe issus de groupes sous-représentés.
« J’ai récemment été promue au poste de vice-présidente », déclare Mme Parakulangara. « Le fait de voir quelqu’un comme moi occuper un poste de direction contribue grandement à démontrer que nous ne parlons pas seulement de diversité. Bell le démontre par l’action, en offrant un environnement de travail inclusif et équitable où les membres de l’équipe, quelle que soit leur origine, peuvent réussir. »
L’entreprise soutient cinq groupes de ressources pour les employés (GRE), notamment Diversabilité chez Bell, Les professionnels noirs de Bell, Fierté chez Bell, Les femmes chez Bell et Les Panasiatiques chez Bell, le plus récent ERG ayant été lancé en mai 2024 à l’occasion du Mois du patrimoine asiatique.
« Depuis le lancement, nous avons enregistré une augmentation de 200 % du nombre de membres », indique Mme To, qui copréside Les Panasiatiques chez Bell. « Nous avons des membres de tout le pays. Nous avons des personnes issues de différentes équipes et de tous les niveaux, jusqu’à celui de vice-président principal ». Les Panasiatiques chez Bell ont organisé un certain nombre d’événements inauguraux, notamment des spectacles de danseurs du lion et de danses du sud de l’Inde, des jeux-questionnaires culturels et des discussions en groupes. « Nous avons invité des conférenciers de Bell et des partenaires d’inclusion panasiatiques », explique Mme To.
L’entreprise recueille des données à partir de son questionnaire sur la diversité afin de quantifier les moyens qu’utilisent les membres de l’équipe pour s’identifier. L’examen annuel des réponses est un moyen pour les membres de l’équipe de soutenir l’engagement de Bell à l’égard d’un environnement de travail inclusif. Les données sont utilisées pour offrir des programmes et des ressources qui font de Bell un meilleur endroit pour tous les membres de l’équipe. « J’apprécie le fait que Bell communique nos progrès de manière plus transparente », déclare Mme Parakulangara. « Nous continuons à faire des progrès relativement au soutien de notre stratégie DEIA au moyen de diverses initiatives, politiques, formations et groupes de ressources pour les employés. Nous partageons les objectifs et la représentation des divers groupes à tous les niveaux, y compris au sein de la haute direction. Les informations sont accessibles à tous les membres de l’équipe sur notre intranet. »
Chez Bell Canada, l’écologie est une longue histoire
Joel Butler s’intéresse depuis longtemps aux enjeux environnementaux. Aussi, lorsque la commission locale de gestion des déchets de Saint John, au Nouveau-Brunswick, a annoncé un programme de compostage, lui et ses collègues de Bell Canada ont lancé leur propre initiative locale visant à recycler les déchets organiques.
Ces initiatives menées par les employés font partie intégrante de l’engagement de longue date de Bell en faveur de la protection de l’environnement. « Nous avons des équipes vertes qui s’organisent autour de la collaboration en ligne, explique M. Butler, gestionnaire principal, responsabilité d’entreprise et environnement. Nous voulons que les gens partagent leurs idées. Lorsque nous pouvons les soutenir, nous créons des programmes qui s’étendent à l’ensemble du pays. »
Cela fait trente ans que Bell se fixe des objectifs en matière de durabilité environnementale, précise M. Butler, qui ajoute que l’équipe chargée de la responsabilité d’entreprise rend compte chaque année des progrès réalisés. « Nous avons été la première entreprise de communication en Amérique du Nord à mettre en place un système de gestion environnementale certifié ISO.
Les unités d’affaires de l’entreprise travaillent en collaboration pour s’assurer que les objectifs environnementaux sont atteints, explique Sunny Saini, chef de projet pour les services de technologie de réseau de Bell. « Nous examinons nos équipements et étudions les possibilités de réduire la consommation d’énergie et les émissions de dioxyde de carbone », explique-t-il.
L’année dernière, par exemple, les services de technologie de réseau ont remplacé les unités conventionnelles de chauffage, de ventilation et de climatisation (CVC) utilisées pour protéger les équipements sensibles à l’intérieur des abris situés au pied de 50 tours de téléphonie cellulaire en Nouvelle-Écosse.
L’entreprise a installé ce que l’on appelle des unités de refroidissement naturel, ce qui a permis de réaliser des économies substantielles en termes de consommation d’énergie. « Les systèmes CVC consommaient généralement plus de 2,3 kilowattheures d’électricité par emplacement, explique M. Saini. Nous avons réduit la consommation d’électricité à environ 0,35 kilowattheure par emplacement. Nous estimons que nous avons réduit les émissions de CO2 de ces emplacements de 500 tonnes par an. »
Bell travaille également avec des vendeurs et des fournisseurs dans le cadre de son programme d’approvisionnement responsable. « Chaque fois que nous intégrons un nouveau fournisseur ou que nous signons un nouveau contrat avec un fournisseur existant, nous le soumettons à un processus d’analyse de son organisation et des produits qu’il fournit, explique M. Butler.
En ce qui concerne les matières plastiques, ajoute-t-il, nous voulons nous assurer qu’elles sont recyclables localement et nous voulons minimiser les emballages. Il s’agit de réduire les déchets et de s’assurer qu’ils ne contiennent pas de matières dangereuses. »
Bell procède également à des changements dans certains de ses plus grands bureaux afin de réduire les coûts énergétiques. L’entreprise a installé plus d’une douzaine de toits réfléchissants sur des bâtiments situés dans des centres urbains. « Les toits réfléchissent la lumière du soleil, ce qui abaisse la température à l’intérieur des bâtiments et réduit le coût du maintien à la bonne température », explique M. Butler.
Bell a également supprimé l’eau en bouteille dans certains bâtiments au profit de l’eau du robinet filtrée, ce qui a permis d’éliminer la nécessité de réfrigérer l’eau en bouteille 24 heures sur 24, note M. Butler.
De plus, l’entreprise s’est associée à Arbres Canada pour appuyer la Journée nationale de l’arbre, qui a lieu chaque année en septembre. Bell fait des dons pour aider à couvrir le coût des événements de plantation d’arbres et les employés bénévoles plantent des arbres dans quelques villes à travers le pays.
« Les employés voulaient participer à la plantation d’arbres dans leurs communautés locales, avoue M. Butler. Nous avons pensé que c’était une bonne idée parce que les arbres absorbent le dioxyde de carbone de l’atmosphère et contribuent à rafraîchir l’environnement. »